LE PROSE
JCT
Cet articulet demandé par mon ami Christian a surtout pour origine un aphorisme pondu après la lecture du titre d’un ouvrage paru récemment : « Le prose ».
Cela m’avait inspiré : Le ténia est un ver qui sort des proses.
Poétique sinon pataphysique, sans proses, point de poésie. L’humanité a besoin de proses.
Mais parlons un peu de ce charmant petit animal, sympathique, attachant, mais difficile à domestiquer qu’est le ténia.
Le ténia est un ver blanc.
S’il était bronzé, on aurait eu pas mal de difficultés à le déceler.
S’il était roux, ce ne serait pas un ténia mais un ver roux.
Il paraît que la constipation est généralement due à deux phénomènes :
Soit on a un ver roux, ce qui bloque tout,
soit la matière fait cale.
Le ténia est un ver rapide car si c’était un ver lent, ce serait un niaté.
Comment un prose perd ses vers ?
Et bien, le ver se débarrasse de morceaux de sa queue, ce qui me fait dire que le prose perd ses vers à l’envers.
Comment le ver arrive au prose ?
Le fait d’avaler de la viande peu cuite suffit.
Contrairement à une idée préconçue, il n’y a pas de vers dans les lentilles mais par contre il y a des lentilles en verre. Dans ce cas, si on perd ses verres, des problèmes de vision se posent.
Le ténia existe en plusieurs dimensions. Au début on prend un petit ver, les plus grands peuvent être appelés les pères vers également nommés les pères vers du trou.
Certains le nourrissent et le gardent le plus longtemps possible croyant par là faire un régime amaigrissant.
Dans son cabinet, un brillant avocat défend cette méthode, méthode dite de « Prosper d’Evere ». Son efficacité n’est nullement garantie.
Voilà, je vous souhaite d’être prose père.
A suivre :
Le prose pet qui est le prose cri.
Comment faire du prose élitisme.