POESIE PARTIE CULIERE
Le sonnet du trou du cul (on attribue les huit premiers vers à Verlaine, et les six derniers à Rimbaud) : Obscur et froncé comme un œillet violet Il respire, humblement tapi parmi la mousse Humide encore d’amour qui suit la pente douce Des fesses blanches jusqu’au bord de l’ourlet Des filaments pareils à des larmes de lait Ont pleuré, sous l’autan cruel qui les repousse, À travers de petits caillots […]
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