NOUVEAU SITE
La Confrérie des Chevaliers du Taste Fesses fait peau(de fesses) neuve.
Le nouveau site est en service et sera réalimenté progressivement.
Excellente Année 2017 à vous tous, que la Sainte Fesse guide vos souris
Le Grand Maître.
La Confrérie des Chevaliers du Taste Fesses fait peau(de fesses) neuve.
Le nouveau site est en service et sera réalimenté progressivement.
Le Grand Maître.
de plusieurs cul-didats fameux et non des moindres !
au VOLLE GAS Place Fernand Cocq, 21 1050 Bruxelles( salle du 1er étage)
« La patrie, l’honneur, la liberté, il n’y a rien : l’univers tourne autour d’une paire de fesses, c’est tout… »
Jean-Sol Partre
Auprès du Grand Moutardier Raymond Michiels 0474 96 88 41 raypick@hotmail.com
(avec ½ bout. de vin et malheureusement de l’eau):
Apéro, Duo de croquettes(c’est-à-dire: 2), Brochette mixtes(mâle et femelle), Bavarois (Achtung !) Prix: 35 € à l’avance sur le compte n° BE 42 3100 0311 0554 pour le 20 janvier au plus tard
Précision inutile:
Le port de la Merdaille est exigé pour les Membres, pour les autres le sourire suffit ;
Art.1227 du Règlement postérieur, Chat pitre 69 ²Entre guillemets ², § 87 ²Du proto-cul² al.8
* En cas d’incompatibilité religieuse ou d’intolérance aux mets précités des amendements peuvent exceptionnellement être envisagés
Amitiés fesse-tueuses
Christian Georges, Grand Gratte Cul du Midi à Quatorze heure
Olivier Kinard, Protecteur de l’Arrière-train du Petit Léo & Petit Gratte Cul du Nord
Jean Bernard, Rat-culeur, Porte-Plume polyvalent & Grand Cul-minicant
et votre serviteur Raymond Michiels, Grand Moutardier
« C’est entre la France et la Belgique que se trouve le Fondement de l’Europe »
Le Grand Maître
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Bonsoir à tous, amies et amis de la vénérable confrérie du Taste Fesses.
En préliminaire, je vous demande la plus grande indulgence et surtout de n’avoir aucune méprise ni interprétation tendancieuse de mes propos.
Me voilà, modeste impétrant, chargé d’une grande mission : Défendre le Fesse, ce qui me sied bien (ce qui n’a rien à voir avec séant).
Nous vivons une grande époque de notre civilisation dont les fondements sont ébranlés par la mondialisation.
Aussi, j’ai entrepris une recherche approfondie, digne d’un doctorat d’arrière-train.
Certes, j’étais un peu dans la lune mais je suis revenu par derrière.
Nous allons donc examiner les polices du monde, celles qui n’ont rien à voir avec le panier que l’on a quelquefois au derche, surtout si on a fumé un pétard…
Venons-en à la noix du sujet.
J’ai étudié de façon profonde, la typographie, à ne pas confondre avec la topographie, typographie qui englobe (ça commence bien) le style visuel des caractères d’écriture mais aussi leur taille et leur graisse. Vous me suivez ? Nous y sommes…
Donc, dans toutes les langues, observons comment, de façon suggestive, les fesses sont représentées.
Pour cette étude mondiale, de la plus haute veine, prenons comme premier exemple, évidemment la France.
Dans le document que je vous présente, vous remarquerez immédiatement la forme marquée en rose, bien sûr ! du double S dont les rondeurs et la graisse déliées leur confère une élégance bien digne de notre réputation d’avoir de beaux troufignons.
Je vous épargne l’anglais dont le mot « buttock », ce qui comme chacun sait veut dire fesse en anglais, n’a aucun sens mais c’est sans importance venant des butors.
Allons à l’économie avec le Yiddish. Là nous observons dans tous les caractères, de la courbe, la croupe est bien formée, bien qu’anguleuse. Le doublon est bien respecté.
Pour le Grec, les choses se présentant mal, le tout est un peu disloqué, à force sans doute d’aller se faire voir… Ils n’ont pas réussi à tout remettre dans l’ordre !
Ah l’Arabe ! là je suis resté perplexe… C’est un peu courbé mais surtout il ne faut rien montrer, un point c’est tout… mais on en pense pas moins !
Voyons maintenant le Turc, là, c’est franc, direct, massif et en plus, il y a erreur car l’endroit vaut l’envers. Il doit y avoir une arrière-pensée…
Le Russe est à la mode pour nos dirigeants politiques ; il n’y a là pas grand-chose à dire. Les courbes sont frileuses, cela ressemble à un train, pourtant habituellement ils ne manquent pas de culot !
N’oublions pas l’Afrique avec un échantillon Malawi, sans commentaire, pourtant ils ont de beaux spécimens de postérieurs…
Bientôt l’Orient, avec d’abord l’Hindi, voyons le rond bien présent avec plusieurs modèles : du rond court, du rond large et du rond rebondi, tout un programme de Kamasutra !
La perle arrive et là, franchement, j’ai été bluffé, par le Pradesh, provinces bien connues d’Inde centrale.
Voyez cette merveille, évoquant les plus grandioses brioches ; il y a la forme et le fond (à ne pas confondre avec le fion)
Mais j’ai trouvé aussi bien, en différent, avec le Congalais.
Alors là ça roule de droite à gauche, on est submergé ! tous les caractères ressemblent à des oignons.
Quittons en fon nos origines indo-européennes pour atteindre l’Asie, la Chine … eh bien, même avec 1300000000 de chinois, il n’y a rien à voir, tout est rectiligne, ponctué en toute fin par un cul bas !
Me voilà arrivé au terme de cette étude exhaustive de la Fesse à travers le monde de l’écriture. Il faut bien reconnaître que tous les pays, attentifs à une représentation subjective, ont essayé à leur manière de la traduire.
Je pense que, fi des potins (et non des popotins) la Fesse Française, bien équilibrée, distinguée, pour ne pas dire sublime, est la meilleure…
Et même selon Saint Luc, disons en latin fissa et c’est là que je m’arrête fissa, au bord de la fente !
(on attribue les huit premiers vers à Verlaine, et les six derniers à Rimbaud) :
Obscur et froncé comme un œillet violet
Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encore d’amour qui suit la pente douce
Des fesses blanches jusqu’au bord de l’ourlet
Des filaments pareils à des larmes de lait
Ont pleuré, sous l’autan cruel qui les repousse,
À travers de petits caillots de marnes rousses,
Pour s’en aller où la pente les appelait.
Ma bouche s’accoupla souvent à sa ventouse,
Mon âme, du coït matériel jalouse,
En fit son larmier fauve et son nid de sanglots.
C’est l’olive pâmée et la flûte câline,
C’est le tube où descend la céleste praline,
Charmant féminin dans les moiteurs éclos !
Toutes nos Chevalières, tous nos Chevaliers ne savent pas par cœur notre hymne officiel.
Aussi sont-ils gênés de seulement le fredonner quand, au cours de nos manifessetations, nous entonnons en chœur, avec ferveur, ce très beau chant liturgique.
A leur intention, nous en reproduisons ci-dessous les paroles.
Couplet 1
Que tu paraisses O Sainte Fesse Enchanteresse
Pour que sans cesse L’extase naisse Naisse et renaisse
Dans l’allégresse De tes prouesses
Refrain
Célébrons Sainte Fesse Glorifions le Saint Cul
Chantons bien haut la Fesse Vantons toujours le Cul bis
Couplet 2
Les belles fesses Font les beaux culs, De grosses fesses Font de gros culs
II faut deux fesses Pour faire un cul, Quarante fesses Seront vingt culs
Refrain
Si nous étions sans fesses Nous n’aurions pas de cul
Vénérons Sainte Fesse … Au nom du Très Saint Cul bis
Couplet 3
L’individu Qui n’a pas eu Pour but le cul, Le cul tout nu Charnu fendu
Velu joufflu N’a pas vécu, Vive le cul
Refrain
Fervents du taste-fesses, Nous aurons nous vécu
Avec la main aux fesses .. Et l’autre main au cul
Lors de notre grand FesseTin d’Hiver, le 25 Novembre 2016, Jean-Pierre Chimberg a intronisé Christian Bruon comme nouveau Grand Maître de la Confrérie, lequel l’a immédiatement nommé Grand Maître d’Honneur.
C’est le 4ème Grand Maître après nos regrettés Léo Campion et Yvon Tanguy.
Que la Sainte Fesse l’accompagne et guide ses mains avec grande maîtrise.