NOUVEAU SITE

 

La Confrérie des Chevaliers du Taste Fesses fait peau(de fesses) neuve.

Le nouveau site est en service et sera réalimenté progressivement.

Excellente Année 2017 à vous tous, que la Sainte Fesse guide vos souris

Le Grand Maître.




INTRONISATION A BRUXELLES

« Il faut faire avec humour les choses graves et avec sérieux les choses futiles »

Chevaliers, le Cul-mité de la Commanderie bruxelloise

vous invite à

l’INTRONISATION

de plusieurs cul-didats fameux et non des moindres !

 le samedi 28 janvier 2017 à 19h

au VOLLE GAS  Place Fernand Cocq, 21  1050 Bruxelles( salle du 1er étage)

« La patrie, l’honneur, la liberté, il n’y a rien : l’univers tourne autour d’une paire de fesses, c’est tout… »

   Jean-Sol Partre    

 

 

Réservation:

Auprès du Grand Moutardier Raymond Michiels  0474 96 88 41   raypick@hotmail.com

Menu*

(avec ½ bout. de vin et malheureusement de l’eau):

Apéro, Duo de croquettes(c’est-à-dire: 2), Brochette mixtes(mâle et femelle), Bavarois (Achtung !) Prix: 35 €  à l’avance sur le compte n° BE 42 3100 0311 0554 pour le  20 janvier au plus tard

Précision inutile:

Le port de la Merdaille est exigé pour les Membres, pour les autres le sourire suffit ;

Art.1227 du Règlement postérieur, Chat pitre 69 ²Entre guillemets ², § 87 ²Du proto-cul² al.8

 

* En cas d’incompatibilité religieuse ou d’intolérance aux mets précités des amendements peuvent exceptionnellement être envisagés

Amitiés fesse-tueuses

Christian Georges, Grand Gratte Cul du Midi à Quatorze heure

 Olivier Kinard, Protecteur de l’Arrière-train du Petit Léo & Petit Gratte Cul du Nord

Jean Bernard, Rat-culeur, Porte-Plume polyvalent & Grand Cul-minicant

 et votre serviteur Raymond Michiels, Grand Moutardier

« C’est entre la France et la Belgique que se trouve le Fondement de l’Europe »

Le Grand Maître   




TYPOGRAPHIE DE LA FESSE

Bonsoir à tous, amies et amis de la vénérable confrérie du Taste Fesses.

En préliminaire, je vous demande la plus grande indulgence et surtout de n’avoir aucune méprise ni interprétation tendancieuse de mes propos.

Me voilà, modeste impétrant, chargé d’une grande mission : Défendre le Fesse, ce qui me sied bien (ce qui n’a rien à voir avec séant).

Nous vivons une grande époque de notre civilisation dont les fondements sont ébranlés par la mondialisation.

Aussi, j’ai entrepris une recherche approfondie, digne d’un doctorat d’arrière-train.

Certes, j’étais un peu dans la lune mais je suis revenu par derrière.

Nous allons donc examiner les polices du monde, celles qui n’ont rien à voir avec le panier que l’on a quelquefois au derche, surtout si on a fumé un pétard…

Venons-en à la noix du sujet.

J’ai étudié de façon profonde, la typographie, à ne pas confondre avec la topographie, typographie qui englobe (ça commence bien) le style visuel des caractères d’écriture mais aussi leur taille et leur graisse. Vous me suivez ? Nous y sommes…

Donc, dans toutes les langues, observons comment, de façon suggestive, les fesses sont représentées.

Pour cette étude mondiale, de la plus haute veine, prenons comme premier exemple, évidemment la France.

Dans le document que je vous présente, vous remarquerez immédiatement la forme marquée en rose, bien sûr ! du double S dont les rondeurs et la graisse déliées leur confère une élégance bien digne de notre réputation d’avoir de beaux troufignons.

Je vous épargne l’anglais dont le mot « buttock », ce qui comme chacun sait veut dire fesse en anglais, n’a aucun sens mais c’est sans importance venant des butors.

Allons à l’économie avec le Yiddish. Là nous observons dans tous les caractères, de la courbe, la croupe est bien formée, bien qu’anguleuse. Le doublon est bien respecté.

Pour le Grec, les choses se présentant mal, le tout est un peu disloqué, à force sans doute d’aller se faire voir… Ils n’ont pas réussi à tout remettre dans l’ordre !

Ah l’Arabe ! là je suis resté perplexe… C’est un peu courbé mais surtout il ne faut rien montrer, un point c’est tout… mais on en pense pas moins !

Voyons maintenant le Turc, là, c’est franc, direct, massif et en plus, il y a erreur car l’endroit vaut l’envers. Il doit y avoir une arrière-pensée…

Le Russe est à la mode pour nos dirigeants politiques ; il n’y a là pas grand-chose à dire. Les courbes sont frileuses, cela ressemble à un train, pourtant habituellement ils ne manquent pas de culot !

N’oublions pas l’Afrique avec un échantillon Malawi, sans commentaire, pourtant ils ont de beaux spécimens de postérieurs…

Bientôt l’Orient, avec d’abord l’Hindi, voyons le rond bien présent avec plusieurs modèles : du rond court, du rond large et du rond rebondi, tout un programme de Kamasutra !

La perle arrive et là, franchement, j’ai été bluffé, par le Pradesh, provinces bien connues d’Inde centrale.

Voyez cette merveille, évoquant les plus grandioses brioches ; il y a la forme et le fond (à ne pas confondre avec le fion)

Mais j’ai trouvé aussi bien, en différent, avec le Congalais.

Alors là ça roule de droite à gauche, on est submergé ! tous les caractères ressemblent à des oignons.

Quittons en fon nos origines indo-européennes pour atteindre l’Asie, la Chine … eh bien, même avec  1300000000 de chinois, il n’y a rien à voir, tout est rectiligne, ponctué en toute fin par un cul bas !

 

Me voilà arrivé au terme de cette étude exhaustive de la Fesse à travers le monde de l’écriture. Il faut bien reconnaître que tous les pays, attentifs à une représentation subjective, ont essayé à leur manière de la traduire.

Je pense que, fi des potins (et non des popotins) la Fesse Française, bien équilibrée, distinguée, pour ne pas dire sublime, est la meilleure…

Et même selon Saint Luc, disons en latin fissa et c’est là que je m’arrête fissa, au bord  de la fente !




POESIE PARTIE CULIERE

Le sonnet du trou du cul

(on attribue les huit premiers vers à Verlaine, et les six derniers à Rimbaud) :


Obscur et froncé comme un œillet violet
Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encore d’amour qui suit la pente douce
Des fesses blanches jusqu’au bord de l’ourlet

Des filaments pareils à des larmes de lait
Ont pleuré, sous l’autan cruel qui les repousse,
À travers de petits caillots de marnes rousses,
Pour s’en aller où la pente les appelait.

Ma bouche s’accoupla souvent à sa ventouse,
Mon âme, du coït matériel jalouse,
En fit son larmier fauve et son nid de sanglots.

C’est l’olive pâmée et la flûte câline,
C’est le tube où descend la céleste praline,
Charmant féminin dans les moiteurs éclos !




FESSETIN D’HIVER

Quelques photos de notre dernier Fessetin du Vendredi 25 Novembre 2016




CANTIQUE DE LA SAINTE FESSE

Toutes nos Chevalières, tous nos Chevaliers ne savent pas par cœur notre hymne officiel.
Aussi sont-ils gênés de seulement le fredonner quand, au cours de nos manifessetations, nous entonnons en chœur, avec ferveur, ce très beau chant liturgique.
A leur intention, nous en reproduisons ci-dessous les paroles.

Couplet 1

Que tu paraisses O Sainte Fesse Enchanteresse

Pour que sans cesse L’extase naisse Naisse et renaisse

Dans l’allégresse De tes prouesses

Refrain

Célébrons Sainte Fesse Glorifions le Saint Cul

Chantons  bien haut la Fesse Vantons toujours le Cul    bis

Couplet 2

Les belles fesses Font les beaux culs, De grosses fesses Font de gros culs

II faut deux fesses Pour faire un cul, Quarante fesses Seront vingt culs

Refrain

Si nous étions sans fesses Nous n’aurions pas de cul

Vénérons Sainte Fesse   … Au nom du Très Saint Cul     bis

 Couplet  3

L’individu Qui n’a pas eu Pour but le cul, Le cul tout nu Charnu fendu

Velu joufflu N’a pas vécu, Vive le cul

 Refrain

Fervents du taste-fesses,  Nous aurons nous vécu

Avec la main aux fesses .. Et l’autre main au cul




LE GRAND MAITRE

Lors de notre grand FesseTin d’Hiver, le 25 Novembre 2016, Jean-Pierre Chimberg a intronisé Christian Bruon comme nouveau Grand Maître de la Confrérie, lequel l’a immédiatement nommé Grand Maître d’Honneur.

C’est le 4ème Grand Maître après nos regrettés Léo Campion et Yvon Tanguy.

Que la Sainte Fesse l’accompagne et guide ses mains avec grande maîtrise.